samedi 31 décembre 2016

Bonne année 2017 !!!




Cette année, mon blog a été lu non seulement au Canada mais aussi aux États-Unis, en France, en Russie, en Roumanie, en Irlande, au Portugal, en Bulgarie, en Ukraine et en Suisse !

À vous tous, qui avez pris quelques minutes de votre temps pour me lire, je vous souhaite une superbe année 2017, pleine de bonheur, de santé et de tout ce que vous voudrez !

jeudi 1 décembre 2016

Yééééééé !!!

Ça m'a pris du temps à le croiser mais j'ai enfin parlé à MON infirmier hier.  Selon lui, pas besoin de radiographies ou de prises de sang avant deux autres années, sauf si je ressens un problème.  Ça tombe bien, j'avais pas vraiment le temps d'y aller !!!

Autre bonne nouvelle, je pète le feu ces temps-ci. Je ne me suis jamais aussi bien portée que dans les trois derniers mois.  Bon, j'ai vu l'optométriste hier et j'ai perdu 0.25 dans chaque oeil mais ça, ça va avec le privilège de vieillir... 


samedi 19 novembre 2016

Belle promenade...

Comme le temps était superbe aujourd'hui, j'ai mis mes corvées de côté pour aller marcher deux heures en compagnie de mon amie Loulou et j'en ai profité pour siroter un petit cappuccino glacé sans trop de culpabilité. Je suis revenue à la maison souriante et pleine d'énergie !

Je n'ai pas marché autant que j'aurais voulu au cours des dernières semaines mais j'ai fait des promenades chaque fois que j'en ai eu l'occasion. Je ne sais pas si c'est réellement lié mais depuis que je bouge un peu plus, mon dos et ma hanche droite se portent mieux.  Je prends beaucoup moins d'anti douleurs et anti-inflammatoires qu'avant et j'en suis ravie. Avec le temps, j'apprends aussi à ménager mon dos en demandant de l'aide à mes fistons qui grandissent.  Après tout, deux d'entre eux sont plus grands et forts que moi.  J'espère qu'en vieillissant, ils n'hériteront pas de mes défauts de fabrication...

L'hiver approche et je compte bien continuer les marches dans mes rares temps libres. Je suis déjà impatiente de voir l'été revenir ! Je m'encourage en me disant que dans quatre semaines, les journées vont déjà commencer à allonger...

On se motive comme on peut !

vendredi 14 octobre 2016

Visite chez mon médecin de famille !



Ce matin avait lieu mon premier rendez-vous chez ma nouvelle médecin de famille, recommandée par un collègue de travail. La visite s'est super bien passée. La médecin en question est une jeune femme qui vient tout juste de terminer ses études et qui selon toute vraisemblance ne prendra pas sa retraite de sitôt, ce qui est une très bonne nouvelle ! Elle est de plus très gentille, sympathique et disponible pour les urgences de dernière minute ! 

Étant déjà suivie par la clinique de la gestion de la douleur pour mon dos, par un orthopédiste pour ma hanche et par une gynécologue pour mes PAP tests et mammographies, je n'avais pas de soucis majeurs à lui soumettre aujourd'hui. Je lui ai toutefois demander une requête pour faire des prises de sang puisque mes dernières remontent à 2013. En consultant le DSQ (je suppose), la médecin a d'ailleurs eu accès aux prises de sang effectuées après ma chirurgie. On notait une anémie dans les résultats, ce qui n'est pas anormal étant donné la perte de sang liée à l'intervention. La médecin veut quand même vérifier que tout est rentré dans l'ordre.

Sinon, ma pression, fidèle à elle-même, était un peu basse ce matin : 95/70. Elle m'a dit que contrairement à ses recommandations habituelles, je n'ai pas à m'inquiéter de manger salé. Pour le moment, le fait d'avoir cette pression plutôt basse ne justifie pas la prise de médicaments si je me sens relativement en forme. On verra par la suite...

Prochaine étape donc : les prises de sang. La semaine prochaine sans doute...

samedi 8 octobre 2016

Quatre semaines plus tard...

Avec la rentrée scolaire des enfants, mes deux cours à l'université, mon boulot à temps plus que plein et mes autres obligations, je n'ai marché qu'un petit six heures et quarante-cinq minutes dans les quatre dernières semaines. C'est moins que j'aurais voulu mais c'est quand même mieux que rien du tout.

Il faut dire aussi que depuis quelques temps, j'ai pris une autre résolution que j'essaie de tenir : être un peu moins exigeante envers moi même, être consciente de mes limites et essayer de les respecter, me reposer quand j'en ressens le besoin et prendre parfois le temps de ne rien faire. Je traîne aussi un interminable rhume depuis maintenant onze jours. Il m'a enlevé beaucoup d'énergie et d'entrain.

Mis à part ce méchant virus, je me porte formidablement bien.  Mon dos et ma hanche droite se tiennent relativement tranquilles depuis un bon deux moins. L'automne s'installe doucement sur le Québec.  Il fait encore super beau et doux dehors et j'entrevois de très agréables promenades pour les prochaines semaines !


samedi 10 septembre 2016

Défi marche : semaine 4 !!!

Bon, cette semaine, je suis partie sur les chapeaux de roues mais j'ai manqué de temps à la fin de la semaine pour poursuivre sur ma lancée.

J'ai quand même marché :

Dimanche : une heure et quart en soirée avec Loulou
Lundi : une heure et quart, seule en soirée
Mardi : une heure et 20 en soirée en faisant des courses pied
Mercredi : une heure seule en soirée

Total : Quatre heures et 50 minutes !!!

Pas si mal quand même...

mercredi 7 septembre 2016

Je marche, marche, marche...

Je marche, je marche et à vrai dire, je me sens très bien ces temps-ci. Marcher me donne de l'énergie et j'ai l'impression de dormir mieux. Je prends assez peu de médicaments depuis quelques semaines et mes douleurs sont vraiment tolérables. C'est vrai aussi que je n'ai rien eu à faire qui soit très exigeant physiquement dans le dernier mois.  

C'est à suivre, comme toujours !

samedi 3 septembre 2016

Défi marche : semaine 3 !!!

J'ai été un peu moins productive cette semaine mais l'intention était là.  Il faut dire qu'en plus de mon travail, dont deux journées de 12h à 20h (ça scrape une journée ça mes amis !) et la rentrée scolaire des enfants, j'ai aussi eu un rendez-vous et un party avec mes collègues.

J'ai quand même réussi à marcher :

Lundi : 30 minutes en soirée avec mon fils
Mardi : 15 minutes pendant mon heure de souper au travail
Vendredi : une heure et quart en soirée avec mon fils
Samedi : une heure en soirée avec Loulou

Total : Un beau trois heures !  Mieux que rien !

samedi 27 août 2016

Défi marche : semaine 2 !!!

J'ai été bien disciplinée cette semaine et j'ai marché beaucoup ! En plus, j'ai rallié à ma cause Loulou, mon amie de longue date qui habite à deux pas de chez moi.

J'ai donc marché : 

Mardi : 40 minutes (aller-retour au travail)
Mercredi : 60 minutes en soirée
Jeudi : 65 minutes en soirée
Vendredi : 40 minutes (aller-retour au travail) et 90 minutes en soirée avec Loulou
Samedi : 80 minutes en soirée avec Loulou

Total : Six heures et quart de marche !



samedi 20 août 2016

Défi marche : semaine 1 !!!

Je ne sais pas combien de temps je tiendrai ma résolution mais cette semaine, j'ai relevé mon défi !

J'ai marché :

Lundi : une heure en soirée
Mardi, mercredi et jeudi : 30 minutes chaque jour sur mon heure de dîner
Samedi : une heure en soirée

Total : Trois heures et demi de marche


mardi 16 août 2016

Comment percevez-vous votre hanche ?



a) une hanche artificielle avec limitations
b) une hanche artificielle sans limitations
c) une hanche naturelle

Trois mois après ma chirurgie, j'ai répondu b) à cette question, dans un questionnaire de recherche, fourni par mon orthopédiste.  Je me suis demandé, à ce moment, QUI pouvait répondre c) et si MOI, un jour, je percevrais ma prothèse comme une hanche naturelle.  

Trois ans post op, je dois me rendre à l'évidence que je réponds toujours b) ! Oui, c'est vrai que je ne me réveille plus chaque matin en pensant à cette prothèse. C'est également vrai que je ne ressens plus aucune douleur et c'est vrai aussi que je n'ai aucune restrictions de mouvements mais la vérité, c'est qu'inconsciemment, je tiens compte de cette prothèse tous les jours ! J'en tiens compte, par exemple, dans le simple fait de marcher et d'afficher une démarche normale (corrigez-moi si je me trompe, je ne me vois pas aller !) Je réalise que pouvoir faire tous les mouvements que je veux (croiser les jambes, me plier en huit, faire le grand écart, sauter, courir, grimper) sans crainte de fracture ou de dislocation ne signifie pas pour autant que toutes ces "cascades" sont confortables ! Je conserve une raideur dans la hanche avec l'impression, probablement fausse, de sentir la tige de métal dans ma cuisse. Par contre, tout ça n'est pas dû à la prothèse en tant que telle mais plutôt à toutes ces trop longues années passées à attendre, années pendant lesquelles j'ai perdu une mobilité, une souplesse et une liberté de mouvements que je savais impossibles à retrouver après la chirurgie. Je me réjouis que maintenant, on opère les patients à un âge de plus en plus jeune. De cette façon, ceux-ci n'auront pas à attendre de subir des dommages irréversibles avant de passer au bistouri.

Pour ma part, tout ce que je souhaitais avec cette chirurgie, c'était de me débarrasser une fois pour toute de cette douleur qui me suivait depuis plus de vingt ans.  Mission accomplie de ce côté là ! J'espérais aussi retrouver un peu de mobilité, consciente que j'étais de l'impossibilité de récupérer complètement. Pari gagné de ce côté là aussi ! J'ai retrouvé une ampleur et une fluidité de mouvements qui bien que limitées, représentent une nette amélioration par rapport à avant.  C'est déjà énorme !

Trois années post chirurgie, je perçois donc ma prothèse pour ce qu'elle est réellement : une hanche artificielle sans limitations mais SURTOUT, je la vois comme mon unique chance de poursuivre une vie active et sans douleurs.

Pour cette partie de mon corps du moins...

lundi 15 août 2016

Ma nouvelle résolution !

Le coucher de soleil était magnifique ce soir et j'ai eu l'envie soudaine de sortir marcher. Sans même prendre le temps de me changer (une petite robe fancy et des running shoes ça donne un look super louche  cool !) je suis partie à l'assaut de mon quartier. Dans un passé pas si lointain, suite à ma chirurgie, je m'imposais de marcher tous les jours et ce qui était au départ une corvée était devenu un réel plaisir, un besoin.  En marchant ce soir, je me suis revue, il y a trois ans, avançant tant bien que mal, puis de plus en plus vite... J'ai revu tous les endroits où je devais auparavant faire des pauses et j'ai constaté tout le chemin parcouru, au propre comme au figuré !

Soeurette me faisait remarquer, il n'y a pas si longtemps, que je ne bougeais pas assez. Elle n'a pas tort. Oui je travaille à temps plein et je cours souvent à gauche et à droite mais je ne prends jamais le temps de réellement faire de l'exercice. Je réalise que le manque de temps n'est pas une excuse. Du temps, j'en ai assez pour sortir au moins quatre fois par semaine et marcher un peu.  Ce sera ma nouvelle résolution. Elle sera à la fois bénéfique à ma hanche mais aussi à tout mon organisme. Et puisque que tel un pêcheur je surveille constamment ma ligne, tous ces kilomètres marchés m'aideront certes à la conserver !

À suivre...


mercredi 10 août 2016

Mon orthopédiste fait encore parler de lui !



Le remplacement d'une hanche par une prothèse totale est une grosse chirurgie qui comporte plusieurs risques (infection, perte de sang, inégalité des deux jambes, etc) et requiert certaines précautions (antibiothérapie, trombophylaxie, etc).

Auparavant, cette intervention durait plusieurs heures, nécessitait de nombreux jours d'hospitalisation et laissait sur le patient une cicatrice d'une bonne trentaine de centimètres. Dans certains hôpitaux, la chirurgie dure encore un bon 90 minutes et le patient, hospitalisé environ 5 jours, se réveille parfois avec un drain pour évacuer le sang post-opératoire.

Pour ma part, j'ai eu la chance d'être opérée par un des meilleurs parmi les meilleurs. Au début, je ne voulais pas dévoiler son nom mais puisque je n'ai que de bons mots pour le grand et beau Dr. Pascal-André Vendittoli, je n'ai plus de raison de cacher son identité. Grâce à lui et à toute son équipe de recherche, j'ai pu bénéficier d'une chirurgie plus courte (environ 50 minutes) et j'ai perdu si peu de sang (250 mL) qu'aucun drain n'a été nécessaire. À l'aide de nouvelles techniques mini invasives, on m'a installé la Cadillac des prothèses et ma cicatrice ne mesure qu'une douzaine de centimètres. En prime, mes deux jambes sont d'une égalité parfaite ! Pour ceux qui n'ont pas lu mon blog depuis le début, j'avais choisi d'être opérée sous péridurale et j'étais entièrement réveillée et consciente pendant toute la durée de l'intervention. Si ma pression n'avait pas chuté dramatiquement au cours de la chirurgie et si elle n'avait pas mis 72 heures avant de remonter, j'aurais pu, dès le lendemain de l'opération, marcher, monter des escaliers et peut-être même rentrer à la maison.  Il a finalement fallu que j'attende trois jours mais ce troisième jour, j'ai quand même réussi à marcher et à monter les trois étages qui mènent chez moi, tout ça dans une bonne forme relative...

Au début août, le Dr. Vendittoli et son équipe ont franchi une nouvelle étape en réalisant un remplacement de hanche en chirurgie d'un jour. Le patient, opéré le matin, est rentré chez lui le jour même, sur ses deux jambes (assurément avec une marchette), une dizaine d'heures après la chirurgie.  Tout ceci est possible grâce à la recherche et au raffinement des techniques et traitements.

Voici l'article paru dans le journal et qui parle de mon chirurgien orthopédiste : 


mardi 9 août 2016

Bonheur !


Parce que c'est pas interdit de poster des billets entièrement positifs de temps en temps, je prends deux minutes pour vous annoncer que je me porte formidablement bien depuis une quinzaine de jours !

Après avoir récupéré l'accès à mes médicaments, je me suis fait un petit traitement choc au Naproxen, Tylenol et Tramadol et celui-ci a si bien fonctionné que je n'ai pas eu besoin d'avaler quoi que ce soit depuis plusieurs jours. Il faut dire aussi que j'ai été choyée au travail dans les deux dernières semaines avec beaucoup de temps passé hors de la pharmacie principale, affectée à des tâches beaucoup moins physiques. Encore cette semaine ainsi que la prochaine, je bénéficie d'un petit répit en remplaçant les chefs d'équipe qui se la coulent douce en vacances. Mon corps les en remercie, ma tête moins !

Bon, je suis tellement ravie de me porter aussi bien que je ne dois pas oublier d'aller passer dans les prochains jours/semaines les radiographies annuelles de ma hanche opérée ainsi que les prises de sang pour mesurer les taux de chrome et cobalt dans mon organisme.  Il faut donc que je commence à ouvrir l'oeil pour repérer "mon" infirmier dans l'hôpital et lui demander les réquisitions.

En attendant, je profite !!!

vendredi 5 août 2016

Toujours debout !!!

TROIS ANS !!!!!!

Eh oui déjà trois ans que je suis passée sous le bistouri, la scie, la perceuse et le marteau ! Que de chemin parcouru à partir des premiers pas avec la marchette, la canne, réapprendre à exécuter tous les mouvements quotidiens, réussir à monter et descendre les escaliers en alternance, marcher sans aide, adopter une démarche à peu près normale, recommencer à travailler, faire des seize heures debout... 

Je suis heureuse qu'au travail, plusieurs semblent avoir oublié ce chapitre de ma vie. Les nouveaux employés ignorent même tout de cette chirurgie et du fait que je vis maintenant avec d'autres douleurs au dos et à la hanche droite. Je suis ravie que personne ne me propose de m'asseoir quand je suis longtemps debout, que plus personne ne prenne un air catastrophé quand je grimpe sur un comptoir pour chercher une boîte ! Je suis heureuse que quelqu'un qui me bouscule ne s'excuse pas avec un air de fin du monde !!!

Je suis fière surtout car même dans les pires moments, et il y en a encore, j'ai toujours réussi, je crois, à faire mon travail sans nuire, ni trop me plaindre. Je spécifie ici, et c'est important, que je ne juge en aucun cas mes collègues qui ont des problèmes de santé ou des restrictions. Je les comprends et je compatis, tellement !  Le fait est que pour moi, c'est différent, car après 33 ans de douleurs, je suis devenue habituée et endurante. Lorsqu'on s'étonnait que je vienne encore travailler alors que j'étais en attente de ma chirurgie, le médecin me disait que c'était normal que je réussisse encore à fonctionner car cette douleur s'était installée graduellement et qu'elle était devenue une partie de moi, de ma vie, mais que quelqu'un s'étant subitement réveillé dans mon état ne serait même pas sorti du lit ! Mon infirmier en orthopédie ne s'était pas étonné non plus que je refuse de prendre de la morphine après mon opération. Il m'avait même annoncé bien avant l'intervention que les douleurs post-op ne seraient rien pour moi car mon seuil de douleur était élevé.  Il avait raison ! Ceci est donc un message d'encouragement pour certaines de mes collègues qui vivent avec des douleurs chroniques : vous allez voir, on s'habitue et on devient plus forte que tout le monde !!!

J'ai beaucoup attendu et beaucoup persévéré mais j'ai reçu un support énorme. Mes enfants ont toujours été exemplaires, compréhensifs. Ils ont grandi sans jamais oublier qu'il ne fallait pas bousculer maman, ne pas arriver en courant pour lui faire un câlin ou lui sauter dans les bras. Ils m'ont aidée après ma chirurgie... Ma soeur et mon frère m'ont aidée à leur façon. Ils m'ont encouragée, ont pris de mes nouvelles. Ma soeur était là le jour de ma chirurgie. C'est la dernière personne que j'ai vue quand j'ai passé les portes de la salle d'opération et la première que j'ai retrouvée après. Elle s'est occupée de moi, a cuisiné pour moi, m'a divertie. Mon frère s'est proposé pour m'emmener des Boost quand j'étais hospitalisée et trop faible pour songer à me nourrir. Mon père m'a aussi énormément supportée depuis que je suis enfant. Je me souviens qu'il gardait tous ses congés de maladie pour m'accompagner à Ste-Justine et plus tard chez tous les autres spécialistes que j'ai consultés. Je me rappelle encore ma chère maman, tellement dévouée. Elle n'est plus là depuis maintenant 25 ans mais elle a tellement tout fait pour m'aider ! Après, c'est ma tante G, ma tante adorée, qui s'est inquiétée de ma santé et qui s'en soucie encore à 92 ans ! Je suis chanceuse ! J'ai eu des amies formidables aussi, surtout Meilleure amie, qui se reconnaîtra. Elle m'a toujours encouragée, elle m'a écouté me plaindre... Finalement, j'ai eu des supers collègues qui ont toujours pris des nouvelles de moi, m'ont souvent montré d'un geste ou d'un regard qu'ils savaient que j'avais mal ! L'un d'eux m'a affectueusement surnommée "jambe de bois". Ça m'a toujours fait sourire... Après tout dans la vie, il y a tellement pire qu'avoir mal un peu partout !

Alors voilà, l'heure est à l'émotion ce soir quand je regarde le chemin parcouru, quand je constate que tant de gens ont été là pour moi, quand je réalise que malgré toutes les mauvaises prédictions, je suis toujours debout ! Ma soeur et moi, on se répète souvent en blaguant "qu'on est pas tuables". Eh bien, je vous jure, attachez vos tuques, vous n'avez encore rien vu !!!

Elle est toujours vivante. Je suis toujours debout !

samedi 23 juillet 2016

Enfin !!!

Après un sevrage drastique de quasiment deux semaines, j'ai ENFIN eu mes renouvellements d'ordonnances hier. J'étais tellement ravie que je n'ai même pas attendu de sortir de la pharmacie pour avaler vite fait deux Tylenols, un Tramadol et un Naproxen. Il faut dire que les deux dernières semaines ont été assez pénibles.  Je me suis soulagée comme j'ai pu avec des Tylenols, Advils et même quelques Dilaudid périmés qu'on m'avait prescrits avant ma chirurgie de 2013.

Bon, c'est bien beau tout ça mais il faut quand même que je trouve une autre solution avant d'aller sauter en bas d'un pont ! Je vais essayer de voir mon anesthésiste dans les prochaines semaines pour trouver d'autres alternatives.  Je commence à me dire aussi, que puisque mon mal est tout concentré dans ma hanche, peut-être que je pourrais convaincre l'orthopédiste de me la changer ??? On s'en fou après tout que le mal vienne du dos, si elle est en métal, elle ne fera plus mal ! Pis bon, j'y crois plus ou moins à cette théorie du dos. Oui j'ai des problèmes de ce côté là, j'ai vu mon résultat d'IRM... Mais quand même, le mal dans ma hanche droite est le même que je ressentais dans la gauche au tout début. 

Bizarre non ?

lundi 18 juillet 2016

I will survive !

Toujours en pénurie de médicaments, je me suis réveillée assez souffrante et sur la route du boulot, je me sentais plutôt misérable et découragée à l'idée d'aller travailler debout une partie de la journée. C'est alors que cette chanson a retenti dans ma voiture et ça m'a boosté un peu ! Merci Fils d'avoir mis ça sur ma clé USB !!!




Bon avec tout ça, le courage et la volonté y étaient mais j'ai quand même eu une journée très difficile. Vers 14h., j'avais si mal que j'ai pensé vomir. J'ai quand même réussi à terminer ma journée et enfin assise, je me sens un petit peu mieux. Je vais relancer médecin et pharmacien demain, question que ma demande de renouvellement ne tombe pas dans l'oubli. 


En attendant, i will survive...

jeudi 14 juillet 2016

J'attends !

Pendant mon heure de dîner, je suis allée à la clinique de la douleur pour demander à mon médecin de represcrire mes médicaments. Évidemment, je ne l'ai pas vu LUI mais bonne nouvelle, il n'est pas en vacances et la secrétaire va lui transmettre ma demande. J'espère seulement que ça ne sera pas trop long avant que le pharmacien reçoive mes ordonnances. Ça urge !!!


mercredi 13 juillet 2016

Indécise...

Avec l'été, le beau temps et les vacances, j'ai un peu abandonné la physio. Je devais prendre un rendez-vous pour la semaine dernière mais je ne l'ai pas fait. Je n'ai plus envie d'y aller. J'ai l'impression que ça ne sert à rien sauf peut-être à empirer mon cas. Pour la première fois en trois ans depuis ma chirurgie, j'ai ressenti de réelles douleurs du côté gauche. Ça ne m'encourage pas à continuer.

Encore une fois, j'ai plutôt envie d'opter pour ma fameuse thérapie par le déni, qui consiste à faire comme si de rien n'était et à me convaincre que je n'ai mal nulle part. Par contre, pour que ça fonctionne, il me faut des médicaments et depuis une semaine, je suis en pénurie !  Il faut bien travailler dans une pharmacie pour ne pas se rendre compte que ses ordonnances ne sont plus renouvelables. J'ai bien essayé de faire des beaux yeux au pharmacien mais pour lui, le Tramadol fait partie des substances contrôlées et il ne peut pas me dépanner. Je vais me pointer demain à la clinique de la douleur pour essayer d'obtenir une prescription, en espérant que mon anesthésiste ne soit pas en vacances. J'ai bien envie de prendre aussi un rendez-vous pour qu'il me fasse d'autres infiltrations.  J'ai l'impression que les dernières ont quand même eu un effet bénéfique.

En attendant, je prends mon mal en patience et je fais semblant de rien. Après tout, c'est l'été, il fait beau, la vie est belle et la mienne l'est particulièrement depuis quelques semaines.


vendredi 24 juin 2016

Toute mêlée...



Je continue ma physio mais je commence à douter des bienfaits.  L'exercice que la physiothérapeute me demande de faire me cause beaucoup de douleurs à droite et pour la première fois depuis ma chirurgie, j'ai eu cette semaine des douleurs côté gauche, celui de ma prothèse. J'ai tout arrêté depuis deux jours et je me sens mieux. Je ne sais pas trop quoi faire...  Par contre, je n'ai jamais pris si peu d'anti-douleurs. Je passe des semaines entières sans rien avaler. Je n'arrive plus à distinguer les bienfaits des effets secondaires. Bref, je suis toute mélangée...

Peu importe, comme d'habitude, tout ceci ne m'empêche aucunement de vaquer à mes occupations, de courir à gauche et à droite, de sortir en talons hauts ou bien d'aller courailler avec mes enfants dans des labyrinthes et des glissades d'eau !  Et surtout, règle numéro un, je n'en parle pas, sauf sur mon blog !

Pis bon, je suis en vacances, il faut bien en profiter ! 


mercredi 8 juin 2016

Grève de physio !

Pas tellement fière de moi... Pas fière du tout même...

Je viens d'annuler mon rendez-vous de demain matin chez la physiothérapeute.  J'ai désespérément besoin de dormir et l'idée de me lever tôt pour mon seul congé en sept jours est loin de me sourire. De toute façon, depuis deux mois, je dois toujours faire le même exercice avec des variantes toujours plus douloureuses et surtout inefficaces.

Hier et aujourd'hui ont été deux grosses journées au travail.  Résultat, je suis actuellement incapable de me déplier le dos complètement et j'ai mal dans les deux bras, à partir des mains jusqu'aux épaules. J'ai juste envie de boire du vin dans une doudou et de dormir dix heures en ligne.

Alors madame la physiothérapeute, merci, vous êtes bien gentille mais plutôt que d'aller faire une demi heure de sparages dans votre cabinet, je vais roupiller jusqu'à ce que ma grosse Juliet vienne zigonner mon spring de porte, croquer ma barrette, marcher sur mes cheveux et lécher mon visage.

Tout un réveil en perspective...




jeudi 19 mai 2016

On continue...

Je suis allée voir la physiothérapeute jeudi dernier. Je lui ai expliqué que son exercice de flexion du dos vers l'arrière m'avait causé bien des douleurs et désagréments. Elle m'a demandé de recommencer à le faire mais de prendre appui sur quelque chose et de veiller à ne fléchir que le dos et non pas le cou et la tête. Je me suis exécutée plus ou moins assidûment (j'oublie parfois de le faire !) pendant les cinq jours suivants puis je suis retournée en physiothérapie pour un autre rendez-vous avant-hier. Je ne comprends pas trop ce que la physio cherche à voir avec ce foutu exercice et honnêtement, je n'y crois pas trop, mais elle m'a demandé de continuer à le faire jusqu'à ma prochaine visite le 2 juin. D'après ce que j'ai compris, puisque me pencher vers l'avant m'occasionne habituellement de la douleur dans la hanche, elle veut "défaire" cette douleur en me faisant exécuter le plus souvent possible le mouvement inverse.  On verra bien ce que ça va donner...

De toute façon, je suis beaucoup plus préoccupée présentement par mes douleurs aux avant-bras, poignets et mains. Je me trouve maintenant dans l'obligation de ne faire que le minimum autant avec le bras gauche qu'avec le droit. Je ne peux plus forcer, serrer la main, dévisser un bouchon, soulever un sac ni même tricoter. La bonne nouvelle dans tout ça  est que j'aurai probablement très bientôt un médecin de famille. Un collègue pharmacien m'a raconté cette semaine qu'une amie à lui venait de graduer et qu'elle devait se constituer une clientèle. Il lui a donc transmis mes coordonnées et j'espère bien être sa première patiente. Elle va avoir du pain sur la planche avec moi !



Trêve de chiâlage, le soleil brille enfin sur Montréal et j'ai passé une super belle semaine au boulot, yéééé !!!

mardi 3 mai 2016

Mal PARTOUT !!!










Je ne suis vraiment pas au sommet de ma forme ces temps-ci. Depuis peut-être un mois et demi, j'ai commencé à avoir une douleur à l'avant-bras gauche, comme du côté extérieur avec des pincements jusque dans le coude. Résultat, je ne suis plus du tout capable forcer avec ce bras là. Puis, comme si ce n'était pas assez, deux semaines après, un mal similaire est apparu du côté droit, peut-être un peu moins intense mais qui irradie jusque dans le poignet et la main. Même au repos, j'ai des spasmes, pincements, sensations de brûlures qui partent et reviennent.

Pour couronner le tout, depuis aussi environ un mois, j'ai un torticoli perpétuel soit plutôt du côté gauche, soit du droit, selon la journée. D'une façon ou d'une autre, je peine à tourner la tête. Je me sens endolorie de partout et comme prisonnière de mon corps dans lequel se multiplient les problèmes et les douleurs.

J'essaie de ne pas prendre trop de médicaments. J'en prends très peu même. De toute façon, ils ne soignent rien. Certains jours, je n'ai pas trop le choix d'avaler quelque chose avant d'aller travailler si je veux être un minimum fonctionnelle. Sinon, je m'en passe.  Je ne suis plus à une douleur près.

À la maison, je mets mon coussin chaud, parfois mon pad froid.  Ça ne fonctionne pas vraiment mais ça me réconforte.  Dans mon lit, je ne sais plus trop comment me placer. Que je dorme d'un côté ou de l'autre, je me retrouve sur un bras qui fait mal. Dormir sur le ventre, semble m'occasionner encore plus de problèmes au cou... 

Je vois la physiothérapeute la semaine prochaine. J'ai arrêté de faire l'espèce d'étirement qu'elle m'avait demandé de faire car il me causait d'autres douleurs que je n'ai absolument pas envie d'endurer.  J'espère qu'elle me proposera quelque chose de moins contraignant.

D'ici là, je me concentre sur les belles choses de ma vie.  Heureusement, y'en a plein ! 

mardi 19 avril 2016

Évaluation en physiothérapie

J'ai rencontré la physiothérapeute de la clinique de la gestion de la douleur jeudi dernier pour une évaluation. Comme d'habitude, j'ai eu droit à un questionnaire complet et j'ai dû faire quelques sparages qui m'ont occasionné des douleurs dans tout le corps pour les quarante-huit heures suivantes.  

Après discussion avec la physiothérapeute j'ai décidé de reporter le projet de l'acupuncture à plus tard. L'acupuncture a lieu deux après-midis par semaine pendant douze semaines. Je ne vois pas trop comment je pourrais caser ça dans mon horaire en plus de la physiothérapie et comme j'y crois plus ou moins, je préfère me concentrer sur la physiothérapie en laquelle j'ai davantage confiance.

D'ici à ce que je revois la physiothérapeute, j'ai un petit devoir à faire qui, semble-il, va l'aider à identifier si le mal dans ma hanche droite provient véritablement de mon dos. Plusieurs fois par jour, je dois donc plier mon dos le plus possible vers l'arrière puis revenir en position normale.  Je peux dire que pour l'instant, ça me donne mal non seulement dans le bas du dos mais aussi dans le cou et la tête jusqu'à en devenir étourdie.  

Si quelqu'un d'entre vous me surprend dans une position étrange dans les prochains jours, ne vous en faites pas, ce n'est pas ma nouvelle posture ! 


mercredi 6 avril 2016

L'art de remplacer un problème par un autre...














Quand j'étais adolescente, j'ai commencé à avoir mal au genou gauche et je me suis retrouvée avec une orthèse et des béquilles. Quand mon genou a commencé à aller mieux, j'ai commencé à avoir mal au genou droit et je me suis retrouvée avec une autre orthèse et encore des béquilles.  Puis, après quelques temps, j'ai fini par avoir mal aux deux genoux en même temps et je me suis retrouvée avec DEUX orthèses et des béquilles pendant assez longtemps.  J'ai donc développé des douleurs dans les poignets et plus tard dans les chevilles.

Au bout de cinq ans environ, les douleurs aux genoux ont disparu MAIS, j'ai subitement commencé à avoir mal à la hanche gauche.  Avec le temps, les douleurs se sont toujours accentuées et j'en ai parfois également ressenti dans la hanche droite. Après vingt-quatre ans de misère, j'ai enfin vu la lumière au bout du tunnel. Ma hanche droite semblait stable et ne me faisait pas trop souffrir et j'allais enfin recevoir une prothèse de hanche pour mon côté gauche.

Ma chirurgie a été un succès et m'a libérée de toute douleur à gauche MAIS malheureusement, trois semaines avant de passer au bistouri,  j'ai commencé à avoir très mal au dos et à la hanche droite. Je ressens ces douleurs depuis bientôt trois ans mais bien que résignée, je reste toujours optimiste d'obtenir un certain soulagement et depuis quelques jours, je me dis que je n'ai peut-être jamais été aussi près d'y arriver.

MAIS, depuis trois semaines, j'ai commencé à ressentir une douleur dans l'avant-bras gauche. Au début, je n'y ai pas trop prêté attention, attribuant cet inconfort à une douleur musculaire. Puis tranquillement, la douleur a monté vers le haut de mon bras. Aujourd'hui, j'ai commencé à la ressentir jusque dans mon épaule avec une sensation de brûlure dans l'avant-bras.

Ma conclusion : l'expression changer le mal de place a été inventée pour moi...

Une chose à la fois...

Trois semaines se sont écoulées depuis que j'ai reçu mes infiltrations et au cours de ces vingt et un jours, je n'ai à peu près pas ressenti le besoin de prendre d'anti-douleurs. L'effet a donc été positif car à part une certaine raideur dans le bas du dos, je me suis somme toute assez bien portée. Par contre, depuis deux ou trois jours je sens que mon pincement habituel revient dans ma hanche droite.  Il semble donc que les effets des infiltrations sont réels mais surtout éphémères...

Lors de ma visite chez l'anesthésiste, celui-ci m'avait suggéré l'acupuncture mais j'avais décidé d'attendre un peu, question de pouvoir bien cibler d'où provenait mon soulagement, SI soulagement il y avait. Par contre, il y a quelques jours, j'ai reçu l'appel de la physiothérapeute et j'ai enfin un rendez-vous la semaine prochaine ! J'ai bien hâte de voir ce que ça donnera. J'ai assez confiance que la physio pourrait grandement aider mon cas. Je penserai ensuite à débuter l'acupuncture.

Une chose à la fois...




vendredi 18 mars 2016

Infiltration surprise !

Avant-hier, rendez-vous tant attendu avec mon anesthésiste... Je lui ai parlé de mes douleurs toujours plus aigües à la hanche et la jambe droite ainsi que de l'engourdissement presque constant de toute ma cuisse et parfois même de ma jambe jusqu'au pied.  Je lui ai aussi fait part du fait que j'avais de plus en plus souvent de la difficulté à tourner la tête du côté droit, comme si le problème montait en plus de descendre...

Cette nouvelle information a semé un doute dans l'esprit de mon médecin et après un examen minutieux, il m'a proposé de me faire une infiltration immédiatement pour aider à faire un diagnostic. Si j'ai bien compris, c'est au niveau D10 que mon problème se situerait et c'est à cet endroit qu'il m'a injecté de la Lidocaïne mélangée à du Ketorolac. Les infiltrations ne sont jamais très agréables et c'est toujours un peu inquiétant quand, l'aiguille plantée dans le dos, je l'entends dire : "Coup donc, où est-ce que je suis rendu ?" Par contre, celle-là fut moins douloureuse que les trois ou quatre que j'ai reçues en juillet dernier. J'en ai gardé un assez mauvais souvenir.

Avant de partir, j'ai questionné le médecin sur le fait que je n'ai toujours pas eu de nouvelles de la physiothérapie de l'hôpital alors qu'une demande a été faite pour moi en avril 2015.  Il m a dit que ça ne semblait pas normal et qu'il allait faire une autre demande.  Il m'a aussi proposé de recevoir des traitement d'acupuncture directement à l'hôpital. Selon lui, il est possible d'avoir un rendez-vous en une à deux semaines seulement. Je suis bien prête à essayer, par contre, je veux attendre quelques jours pour voir si l'infiltration me soulage.  Si j'essaie trop de choses à la fois, je ne saurai pas qu'est ce qui fonctionne.  Pour le moment, j'ai l'impression de ressentir un certain soulagement mais je préfère attendre avant de crier victoire.  J'ai plus d'une fois subi des traitements qui ne m'ont soulagée que très temporairement...

C'est donc gelée de la moitié du dos jusqu'au pied que je me suis présentée au travail pour une soirée de huit heures de boulot. Je sentais mon dos endolori et un engourdissement dans tout le bas du corps mais mes collègues de l'équipe de soir ont été géniales et grâce à leur aide, je suis passée au travers encore une fois.  Merci à elles !




mardi 1 mars 2016

Clinique de la douleur à la rescousse !

Après avoir passé une dure journée dimanche suivie d'une nuit non moins difficile, je me suis présentée au boulot un peu découragée hier matin. Heureusement, les heures se sont écoulées une à une et la bonne humeur de mes collègues aidant, je me suis rendue au bout de mes heures de travail sans trop de difficulté.

Au dîner, j'ai abrégé mon repas pour me précipiter à la clinique de la gestion de la douleur, dans l'espoir d'obtenir un rendez-vous assez rapidement avec mon anesthésiste.  Mission accomplie, je le verrai le 16 mars, ce qui représente un délai plus qu'acceptable étant donné le nombre de patients fréquentant la clinique.

Avec un peu de courage et beaucoup de médicaments, je devrais m'y rendre !


dimanche 28 février 2016

Trop mal à la jambe...

Depuis quelques temps, je ressens une douleur très intense dans ma jambe droite. Au début, elle survenait seulement après une grosse journée de travail, puis graduellement, elle est apparue plus tôt dans la journée. Aujourd'hui, je suis en congé et je n'ai fait que mes petites corvées habituelles du dimanche et cette douleur irradie dans toute ma jambe, au point où je ne peux quasiment pas rester debout. Ma hanche droite aussi est de pire en pire. Je la sens inflammée et extrêmement douloureuse. Je dois parfois m'arrêter en plein mouvement car une douleur soudaine et fulgurante survient.

Puisque selon tous ceux que j'ai consultés, la douleur de ma hanche droite (et donc de ma jambe droite !) provient de mon dos, je pense que je n'aurai pas d'autre choix que de prendre un rendez-vous avec mon anesthésiste de la clinique de la douleur et de lui demander de nouvelles infiltrations.

En attendant, je vais continuer mon Tylenol-Tramadol et ajouter du Naproxen pour aider. Je ne vois pas d'un très bon oeil la semaine de travail qui commence...



vendredi 19 février 2016

Un prix prestigieux pour mon grand Docteur Vendittoli !!




J'évite habituellement de nommer des noms complets sur ce blog mais comme je n'ai que des éloges pour celui qui m'a opérée et rendu une qualité de vie inespérée, je ne peux passer sous silence la belle récompense que mon orthopédiste vient de recevoir pour reconnaître tout son travail de recherche.

Allez lire ça !

http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/prix-et-distinctions/20160217-un-prix-majeur-en-orthopedie-pour-le-dr-vendittoli.html

samedi 23 janvier 2016

Un cliché de plus...

J'ai reçu, la semaine dernière, un appel de la secrétaire de la clinique où je suis allée passer ma mammographie.  Elle voulait me donner un autre rendez-vous pour qu'on prenne un cliché supplémentaire de mon sein gauche.  Je ne suis pas vraiment inquiète.  J'y retourne dans quatre jours...


mardi 12 janvier 2016

Mammographie !!!

J'ignore pourquoi mais les résultats de mes dernières prises de sang ne sont toujours pas accessibles dans le logiciel de l'hôpital. Par contre, mon infirmier les a vus et tout est sous contrôle en ce qui concerne l'éventuelle augmentation des taux de chrome ou de cobalt dans mon sang.


Parlant de résultats, aujourd'hui après le travail, je suis allée passer une mammographie préventive puisque Soeurette a reçu un diagnostic de cancer du sein l'an passé, à l'âge de 47 ans.  Même si son cancer n'est pas génétique, le simple fait qu'elle en soit affectée a doublé mes chances d'en développer un moi aussi.  À partir de maintenant, je devrai donc faire un dépistage par année.

On m'avait déjà fait une première mammographie en 2007 et je n'en avais pas gardé de mauvais souvenir. Je m'y suis donc présentée confiante et tout s'est super bien passé. La technicienne a été on ne peut plus gentille et délicate et je n'ai ressenti aucune douleur.  En plus, ô joie, je suis passée pile à l'heure et en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, j'étais rhabillée et joyeusement repartie. 

Ma gynéco devrait recevoir les résultats au cours de la semaine. Je suppose que je n'en entendrai pas parler si tout est normal.

Attendons...