Avant
de baisser définitivement les bras en ce qui concerne ma santé,
j’ai décidé de faire une ultime tentative. Lors de ma
dernière visite à son cabinet, l’orthopédiste m’a recommandé
de prendre rendez-vous dans une clinique de physiâtrie pour recevoir
des infiltrations péridurales de cortisone mais comme celles-ci sont
plutôt dispendieuses et que le pourcentage remboursé par les
assurances est négligeable, j’ai décidé de ne pas donner suite à
cette option de traitement.
Aujourd’hui
cependant, après discussion avec mon infirmier, j’ai décidé
d’aller tenter ma chance pour recevoir ces infiltrations à la
Clinique de la douleur de l’hôpital où je travaille. L’attente
peut être longue (jusqu’à un an paraît-il) mais je suis allée
porter ma demande en personne avec ma carte d’employé accrochée
bien en évidence autour de mon cou. Et puisqu’il se trouve
toujours un bon samaritain sur ma route, S., la secrétaire de la
pharmacie où je travaille, a gentiment proposé de parler de mon cas
à un contact à elle, justement dans cette clinique. Dans toute
cette histoire, une chose est certaine : je ne pourrai jamais dire
qu’on a pas tenté de m’aider et en plus, l’aide est souvent
venue gratuitement de personnes qui n’avaient rien à y
gagner…
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