mardi 31 décembre 2019

Bonne année 2020 !

L'histoire tumultueuse de ma hanche étant chose du passée,mon blog est désormais moins actif. En zieutant les statistiques des visites sur ma page, je constate toutefois que des gens continuent à le consulter. Parmi eux, plusieurs personnes de mon entourage évidemment mais aussi, des gens de divers pays. Je reste donc à l'affut de toutes les avancées sur les prothèses de hanche ainsi que sur les techniques chirurgicales et nouveaux protocoles post opératoires. Je me fais une mission de venir encourager et instruire ici, tous ceux qui seront confrontés à une chirurgie de remplacement de la hanche.

De mon côté, je me porte plutôt bien. La hanche bionique continue de remplir sa mission. L'autre me fait souffrir à l'occasion mais il semble que son heure ne soit pas encore venue. Pour ce qui est du bras blessé en mars dernier, il est rétabli à 90% et cela me satisfait. Après quelques séances de physio et beaucoup d'exercices à la maison, j'ai oublié de reprendre rendez-vous avec ma physiothérapeute lors de la rentrée scolaire en août dernier. C'est donc signe que ça allait mieux. Je sens bien une certaine raideur et quelques pincements de temps en temps mais comme pour le reste, je m'y suis habituée.

Voilà donc mon dernier billet de 2019. En cette fin d'année, je vous souhaite tout ce que vous désirez : du succès, de l'argent (ben oui il en faut !), un travail qui vous passionne, des collègues que vous appréciez, du bon temps avec vos proches, du bon temps pour vous-même aussi mais par dessus tout, encore et toujours la santé.

Allez, on se revoit en 2020 ! 


vendredi 29 novembre 2019

De garde 24/7 : le deuil.

Cette semaine à de Garde 24/7, le deuil : le deuil de sa propre vie, de celle d'un proche ou bien celui de guérir un jour une douleur chronique.

Dans ce reportage, on s'attarde à la Clinique de gestion de la douleur, clinique où j'ai été patiente pendant plusieurs années avant de perdre ma place l'an passé parce que j'ai laissé passer treize mois entre deux rendez-vous plutôt que douze.

Cette clinique m'a aidé à accepter que certaines douleurs ne pouvaient pas être guéries et m'a donné quelques outils pour gérer la douleur au quotidien.

Libérée de ma douleur à la hanche gauche depuis ma chirurgie de 2013, je compose maintenant avec mes douleurs au dos (assez bien contrôlées), celles dans ma hanche droite (en péril cette semaine) et celles dans mon bras droit qui n'est toujours pas guéri mais que j'ignore.

Un épisode parfois émouvant mais très instructif...

mardi 26 novembre 2019

Mon chirurgien fait encore parler de lui !





L'été dernier, ma hanche a fêté ses six ans. 


Depuis ma chirurgie, les choses ont bien changé. Mon super chirurgien a continué de perfectionner son art, si bien que depuis environ trois ans, certaines chirurgies de la hanche sont maintenant réalisées en chirurgie d'un jour. Cette avancée est loin d'être banale étant donné que le remplacement total de la hanche représente une chirurgie majeure comportant de nombreux risque et de nombreuses précautions.

Je ne répéterai jamais assez combien j'ai eu de la chance de passer sous le bistouri du grand docteur Pascal-André Vendittoli ! 

lundi 5 août 2019

Six ans !!!

Devinez c'est la fête de qui aujourd'hui ?

Eh oui, de ma hanche bionique !  Six ans déjà !

Bonne fête hanche ! 😊😊😊


samedi 6 juillet 2019

Un peu tannée !

Trois mois et demi que j'ai mal à mon bras, trois looooooooooooongs mois et demi !

Je vais à la physio aux deux semaines mais je ne vois pas de grands changements. Mardi dernier, j'avais même l'impression que ça empirait. Depuis que je fais des exercices d'étirements du bras, on dirait que j'ai de plus en plus de mal à le plier. J'ai des douleurs dans le poignet aussi. En désespoir de cause, j'ai recommencé depuis mercredi le Naproxen 500 mg deux fois par jour. Comme j'avais mal à trois endroits différents du corps ce jour-là, je me suis dit que ça ne serait pas un luxe. Contre toute attente, on dirait que le médicament fait son effet. La douleur est plus supportable et mon bras plie mieux. 

Selon la physio, je dois recommencer à utiliser mon bras droit. Lors de mon dernier rendez-vous, elle a mesuré la force dans mes deux bras avec un instrument comme celui-ci.





Dans le bras gauche, j'avais 21 kilos. Dans le droit, j'aurais dû avoir environ 26-27 kilos puisque je suis droitière. Il n'en reste que 5 ! Depuis ce temps, j'essaie donc d'utiliser un peu plus mon bras droit mais quand même avec modération. Je n'ai pas l'impression de faire beaucoup de progrès. 

Mon prochain rendez-vous en physio est dans deux jours. J'ai vraiment hâte d'être libérée de ce problème au bras mais  je désespère un peu d'en venir à bout.

Encore une fois, je dois m'armer de patience et de positivisme. L'été, la chaleur et les vacances sont là. C'est tout ce qui compte ! 😃😃😃

dimanche 2 juin 2019

Physiothérapie...

Bon bon bon... troisième chapitre de mes déboires...


Premier dossier : le bras. Il ne va pas mieux. J'ai commencé la physiothérapie il y a deux semaines mais pour le moment, je ne vois pas de résultat. Ma physiothérapeute est super gentille, douce et très consciencieuse. Je ne l'ai vue que deux fois jusqu'à maintenant. La première visite a surtout été consacrée à mon évaluation. Lors de ma deuxième visite, nous avons travaillé mon bras ainsi que mon cou. Selon la physio, il y a un nerf qui relie les deux et ça ne peut pas nuire de travailler le cou en plus du bras. La séance a été apaisante avec quelques exercices, puis un massage du bras suivi d'application de ventouses et finalement d'un TENS. La physio m'a également recommandé un exercice à faire à la maison, pour travailler le nerf cou-bras. J'y retourne demain. On verra bien ce que ça donne. Je désespère un peu de venir à bout de cette blessure. J'essaie de ménager mon bras mais ce n'est pas facile de ne pas trop m'en servir étant donné que je suis droitière ET hyperactive. Histoire à suivre...

Deuxième dossier : la fatigue. Ça, ça va mieux. Je pense que ma médecin avait raison et que j'ai dû traîner un virus pendant quelques semaines. Depuis environ trois semaines, je me sens nettement mieux. Ceci-dit, je me sens parfois épuisée après mes journées de travail mais ça me semble normal, étant donné que je me lève à 5h30 et que je me donne en spectacle toute la journée devant des élèves très demandant, même s'ils sont adultes. J'ai hâte aux vacances. Heureusement, l'année scolaire achève. 

Voici donc où j'en suis pour le moment. Je reste positive et je continue ma physio, en espérant guérir vite sans que ça ne me coûte... un bras...


lundi 13 mai 2019

Épicondylite

Bon bon, suite de mes deux problèmes...

Je suis finalement allée voir ma médecin pour mon bras cet après-midi, après avoir essayé de m'auto-soigner pendant six semaines. Résultat, selon elle, j'ai une épicondylite. Bon, je ne suis pas étonnée. On en entend de plus en plus parler ces temps-ci, notamment en raison des mouvements répétés liés à l'utilisation des claviers et souris d'ordinateurs. Dans mon cas, il semble que ce soit simplement mon lavage de fenêtres qui a causé ce problème. Quoiqu'il en soit, la guérison peut être longue. Je dois porter un bracelet anti-épicondylite au niveau du coude, faire de la physio et évidemment, éviter de forcer et de sur-utiliser mon bras. En rentrant chez moi, j'expliquais à Fiston 2 que j'allais avoir besoin d'un peu plus d'aide pour les prochaines semaines. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu l'idée de lui dire que si ce n'était pas guéri dans six mois, on me couperait le bras en haut du coude. Il était vraiment découragé... Je n'aurais pas dû lui dire que je blaguais... 😇

Alors pour la petite histoire, une épicondylite, pour ce que j'en sais, c'est une inflammation des tendons qui sont à proximité du coude.




En voulant mettre mon bracelet, j'étais un peu perplexe parce que l'image, sur la boîte indique de porter le bracelet sous le coude alors que l'épicondyle est en haut...


                                                     

Finalement, après recherche, j'ai trouvé réponse à mon questionnement : 

La technique d’installation consiste à repérer l’épicondyle avec les doigts; l’endroit qui se veut généralement le point anatomique le plus douloureux lorsqu’on souffre d’épicondylite. On calcule alors l’espace de deux de nos doigts sous l’épicondyle pour appliquer l’orthèse comme sur cette photo : 


                                                 

Voilà donc mon bracelet en place ! 

Sinon, ma fatigue fulgurante semble se dissiper peu à peu depuis environ cinq jours. Ma médecin a regardé mes résultats de prises de sang et selon elle, absolument rien ne cloche. Elle m'a dit que certains virus, qui se manifestaient par une fatigue importante, avaient courus récemment. Bref, ça va mieux de ce côté là. Je fais quand même l'effort de me coucher plus tôt depuis deux ou trois semaines. Bon, effort n'est peut-être pas le bon mot puisque j'étais si épuisée que je me serais couchée directement en rentrant du boulot. Maintenant que ça va mieux, je continue de me discipliner à passer de plus longues nuits.

Voilà donc où j'en suis pour l'instant. Demain, je m'occupe de me trouver un ou une physiothérapeute. On va guérir ça ce bras là ! 

samedi 20 avril 2019

Avril.... à Montréal...

Depuis toujours, je fais tout par moi-même. Pas question de quémander de l'aide à qui que ce soit. Je suis infatigable et capable de mener à terme les plus dures corvées toute seule.  Oui, j'avoue que des fois, je n'ai pas le choix de quêter l'assistance de mon frère pour les tâches qui dépassent vraiment mes compétences. L'électricité et les bancs de scie, ça m'effraie !

Depuis des années, j'abats des semaines de boulot qui rendent tout le monde perplexe. J'ai longtemps fait des 50 heures de travail (parfois plus) tout en allant à l'université le soir et en continuant de préparer des repas santé, des muffins et des biscuits maison pour mes trois garçons et en gardant mon intérieur parfaitement impeccable. Pendant un certain temps, j'ai même ajouté un deuxième boulot par-dessus tout ca, ce qui ne m'a pas empêchée de starter ma mijoteuse le matin et de vider mon lave-vaisselle pendant que la lessive tournait, tout en atteignant fièrement des A+ à l'université. Ce n'est pas compliqué, dans la vie, je prends toujours pour acquis que peu importe le projet ou le défi, je le réussirai. Si j'ai retenu une leçon de ma mère, c'est bien celle-là !

Mais voilà que...

J'ai présentement DEUX problèmes.

Le premier : je me suis blessée au bras il y a trois semaines. 

Et ça ne part pas. 

Ce jour-là, hyperactive que je suis, j'ai décidé de faire le ménage de printemps de non pas une mais bien DEUX pièces dans la même journée (tant qu'à faire...) Tout y est passé ! Pour commencer, la salle à manger au grand complet : murs, meubles, porte patio (intérieur-extérieur) + nouveaux rideaux que j'ai lavés, repassés, raccourcis moi-même et installés. 

Non satisfaite de ma performance, je me suis ensuite attaquée à ma chambre. Encore là, j'ai tout mis sans dessus dessous. J'ai déplacé les maudits gros meubles pour nettoyer derrière. Par contre, étant plus sage avec les années, j'ai sollicité l'aide de Fiston 2 pour ménager mon dos et ma hanche bionique. J'ai tout lavé, changé les rideaux là aussi, fait prendre une douche aux plantes, assemblé une nouvelle lampe (en facetime avec mon frère) mais surtout, SURTOUT, j'ai défait les fenêtres pour les laver des deux côtés. Ben oui, j'habite dans un troisième étage. Je ne peux pas me contenter de sortir dehors pour laver le côté extérieur. Chaque année, les fenêtres me font royalement sacrer. Elles ne sont pas si vieilles mais pas jeunes non plus. Il faut les pousser vers le haut pour les faire miraculeusement sortir de leur fameuse track. Vous voyez le genre ? Une fenêtre comme celle-ci : 

Cette année pourtant, ça s'est bien passé. J'étais même surprise ! Bref, le temps de le dire, j'avais tout remis en place et ça sentait bon le Hertel et les muffins maison, autant dans ma salle à manger que dans ma chambre. Hourra ! Je me suis couchée heureuse...

Le lendemain, un mal de chien se faisait sentir dans mon bras droit. Je me suis dit : pourtant, j'ai QUASIMENT rien fait... Optimiste de nature, j'ai pensé que "ça passerait". Erreur... Depuis ce jour fatidique, je prends deux Naproxen par jour (j'ai des réserves) et je me fais de la glace dès que le temps s'y prête. Eh bien malgré mon super traitement, j'en suis au même point qu'il y a trois semaines, c'est à dire, douleur. Au toucher, j'ai mal au niveau du coude et dès que je bouge, j'ai mal du coude au poignet avec impossibilité de réellement forcer de ce côté là. Je conduis désormais de la main gauche, trimballe mes sacs de la main gauche, nettoie le tableau de la main gauche dans la classe. Même ma main me semble plus raide... Qu'à cela ne tienne, une journée peinture est prévue avec mon frère ce lundi. Comme d'habitude, ma thérapie de prédilection (le déni) fera son oeuvre. Après ça, j'irai consulter pour ne pas traîner ça tout l'été.

Bon, ça c'était le problème numéro un. 

Car si vous avez suivi, j'en ai deux.

Le deuxième : je me sens fatiguée. Peut-être juste comme une personne normale mais trop pour la personne que je suis. 

Est-ce de dû aux derniers mois qui ont été difficiles ? On ne se remet pas de la maladie et du décès d'un personne aussi proche qu'une jumelle du jour au lendemain et sûrement pas en 5 jours de congé. Encore là, je continuais à faire des muffins et des biscuits... J'ai traîné une autre blessure un certain temps aussi, après qu'un étrange individu m'ait attaquée devant l'hôpital. J'ai changé officiellement de carrière également, poursuivi l'université à l'automne... 

Est-ce simplement une sorte de pré-ménopause ? Une amie très avisée m'a fait cette suggestion pas plus tard que vendredi. Après tout, j'ai 48 ans... 

Suis-je bêtement écoeurée du temps gris, du froid, d'être enfermée en espérant le soleil et la chaleur ?

Ai-je trop poussé mon corps  ? Pourtant, j'ai eu deux semaines de vacances durant le temps des Fêtes et une autre fin janvier. Cette année, je fais enfin des semaines de travail normales et cet hiver, je n'ai même pas pris de cours à l'université. Peut-être que j'en fais trop peu et que mon corps ne comprend pas ? Sait-on jamais...

Ou bien, est-ce que je ressens simplement la fatigue normale dont tout le monde me parle et que j'ai jamais comprise ? Peut-être qu'un jour, elle tombe sur les plus récalcitrants d'entre nous...

Bon, je suis fatiguée mais ce n'est pas dramatique. Mon nouveau travail nécessite que je me lève plus tôt et que je sois à mon meilleur toute la journée. Enseigner, c'est fatigant. Mais j'adore ça. C'est stimulant, c'est enrichissant et c'est gratifiant. Mes réveils sont difficiles. C'est vrai que je n'ai jamais été rayonnante de bonheur quand le réveil sonne. J'ai plutôt une impression de fin du monde. C'était comme ça quand je travaillais à l'hôpital et ça l'est encore maintenant. Par contre, quand je pense à la journée qui m'attend, à mes collègues, à mes élèves, je suis heureuse et motivée. Une fois lancée, les heures s'écoulent rapidement. Devant la classe, je me sens réveillée, vigilante, aux aguets... Mais quand je sors de l'école et que je mets le pied chez-moi, c'est d'un café dont j'ai envie, pas d'un verre de vin (help !) Je me couche de plus en plus tôt...

Étant quand même disciplinée en ce qui concerne ma santé, je suis allée passer mes prises de sang de routine ce jeudi matin. La semaine prochaine, c'est le tour de ma mammo annuelle. En juin, je dois passer une échographie. J'attends aussi l'appel de l'oncogénétique pour faire des tests. Que voulez-vous, quand on était trois femmes dans une même famille et qu'on est la seule survivante, les médecins ont tendance à nous surveiller de près.

Avec tout ça, nous voici le 20 avril. Les vacances approchent à grands pas. Je compte bien me reposer, prendre un maximum de soleil, marcher, faire du vélo, passer du temps avec mes fils (je les paierai s'il le faut 😃😃😃) et voir ma famille et mes amis. Avec tout ça, je serai resplendissante d'énergie pour la prochaine rentrée scolaire et avec de la chance, je porterai mon sac d'école au bras droit ! 

jeudi 14 mars 2019

Vivement le printemps !

 




J'ai hâte !!!


Hâte de me prélasser au soleil, de marcher des heures dans la nature ou dans le centre-ville, hâte aux repas sur les terrasses, à l'apéro sur mon balcon après une longue journée de boulot, hâte de rouler les fenêtres baissées, d'étendre le linge dehors, de me réveiller avec le chant des oiseaux, hâte de sortir les robes d'été et les sandales, hâte aux barbecue chez mon frère et aux feux chez mon beau-frère (ou l'inverse), hâte d'enlever les tapis d'hiver du fond de ma voiture et de mettre les pneus d'été, hâte au soleil qui se couche à 21h et qui se lève avant moi !

J'ai juste, HÂTE !

dimanche 10 février 2019

Les bienfaits de la marche...



Vous le savez, l'été, je marche beaucoup ! J'essaie aussi de me discipliner à marcher un peu l'hiver, quoi que cette année, c'est pratiquement impossible voire suicidaire étant donné l'état des trottoirs et des rues. D'ailleurs, cette semaine je me suis payé mon deuxième pétage de yeule ma deuxième chute en arrivant de chercher fiston à l'école. Eh oui, je suis tombée pile sur le genou droit puis sur le poignet du même côté. L'impact a été tellement violent que j'étais persuadée que mon genou avait explosé en mille morceaux ! Eh bien non... Certes, j'ai eu du mal à monter les trois étages qui mènent à mon appartement mais en appliquant de la glace immédiatement, je n'avais plus aucune séquelle deux jours plus tard. En me voyant avec le sac de gel sur le genou, Fiston, toujours très avisé, m'a d'ailleurs fait remarquer que j'aurais pu rester à genoux dehors sur la glace et que ça aurait tout aussi bien prévenu l'inflammation. Pas faux mon chou, mais certainement moins confortable...

Bref, connaissez-vous tous les bienfaits de la marche ? Je vous invite à aller lire ce petit article sur lequel je suis tombée par hasard. Moi ça me donne envie de marcher encore plus. Et vous ?

dimanche 27 janvier 2019

Escapade hivernale...

Je voulais le faire depuis longtemps et j'ai enfin réalisé mon projet :  14 km de patinage sur le Canal Rideau et avec mon beau-frère préféré en plus ! 

Je n'aurais jamais pu faire ça sans ma hanche bionique ! 😊😊😊